Des petits maux qui me gâchaient la vie

 

 

écris-le : mars 2005

Je m’appelle Lello MONJOL. Je suis né le 21 décembre 1928 et je me sens en pleine forme et « bien dans ma peau ».

Ce n’était pas le cas il y a une vingtaine d’années, car je « traînais » des quantités de petits maux les plus divers : ballonnements, douleurs à la colonne vertébrale, crises de goutte … qui me gâchaient la vie.

 

Photo du Teide au Canarie

 

La chance me fut favorable quand je rencontrais une jeune médecin, acupuncteur et phytothérapeute.
Celle-ci me fit comprendre qu’elle ne pourrait agir efficacement que si elle me connaissait parfaitement. Elle me déclara que j’étais « unique » et qu’elle pourrait m’aider, mais que je devais me prendre en charge en fonction de ces indications.
Le message fut reçu et, à partir de ce moment, j’essayais de suivre scrupuleusement les règles de vie qu’elle m’indiqua.
Un mieux se fit sentir assez vite, mais une douleur à la base du dos subsistait malgré l’intervention d’un kiné.
Elle me conseilla alors de voir un ostéopathe et m’en recommanda un dont elle avait suivi des cours à la fac de médecine.

Là encore, la chance me fut favorable. Après ma première séance, où je ne voyais pas du tout quelle pouvait être l’action bénéfique, je ne tenais pas compte des prescriptions que ce médecin qui après m’avoir « touché » derrière le cou m’avait demandé de prendre régulièrement des calmants homéopathiques. La réaction fut violente.
Deux jours après, je me réveillais avec une crise très douloureuse à la jambe droite. Mon médecin traitant diagnostiqua une crise de sciatique, fit le nécessaire pour enrayer ces douleurs et me recommanda de revoir d’urgence l’ostéopathe.
Ce qui fut fait dans les plus brefs délais.
Celui-ci m’accueillit avec un sourire ; me demanda si j’avais bien pris les granules qu’il m’avait prescrits et ajouta : « je vous avais prévenu que je vous ferai mal, mais soyez rassuré ; je vous remettrai tout cela en ordre ». Le doute disparut et j’étais sûre d’avoir trouvé quelqu’un de très compétent et qui dominait une médecine que je ne connaissais pas encore.
Cela dura six mois.
Après la jambe, ce fut l’épaule gauche, puis la droite, et ainsi de suite pendant plus de six mois. Tout y passa, et un beau jour je n’avais plus mal du tout.
Je continuais à me faire suivre même après le remplacement, pour cause de retraite, de mon ostéopathe habituel par une jeune ostéopathe reprenant son cabinet et qui me fit très bonne impression dès la première séance.

 

Ainsi, il me fut permis de vivre normalement malgré quelques petites douleurs par ci par là.

Comme notre relation se confirmait j’osais lui faire l’observation qu’il semblait que mes douleurs étaient provoquées par mes dents, celles-ci n’étant pas au point malgré un appareillage très sophistiqué et très onéreux. Malheureusement, cette ostéopathe ne connaissait pas de spécialiste en la matière.
Enfin, un jour elle me déclara à mon arrivée : « M. MONJOL j’ai ce qu’il vous faut. J’ai fait la connaissance d’un ostéopathe dentaire ; voici ses coordonnées ».

Une fois de plus, la chance me souriait. Complètement acquis, je me rendais à ma première visite chez ce spécialiste.
Sa première réaction fut après les formalités d’usage : « mon pauvre monsieur, vous êtes tout de travers; mais on va rectifier cela »

 

Il me fit faire un test consistant à marcher sur place, les yeux fermés, en soulevant les genoux vers la poitrine tout en balançant les bras d’avant en arrière. A son signal d’arrêt en ouvrant les yeux, je m’aperçus que j’étais tourné vers la gauche. Après avoir mis une cale sur mes dents je dus recommencer la manœuvre. Je me trouvais tourné vers la droite.
Une nouvelle cale fut posée et j’exécutais à nouveau la manœuvre initiale. En ouvrant les yeux, je vis que j’étais maintenant de face bien droit.
En même temps que je suivais des séances, je me retrouvais affublé d’une « gouttière » à porter en permanence sur les dents du bas, sauf lorsque je devais manger. Tout allait bien ; mais c’était contraignant et, à mon point de vue, pas commode du tout pour la vie de tous les jours. Je sollicitais des adresses de dentistes pratiquant les mêmes méthodes.

Sur une liste de trois dentistes parisiens ce fut une dentiste et son prothésiste qui, comme je ne résidais pas en France métropolitaine, sur deux années et pendant une période cumulée de trois mois de soins, mirent en place une dentition me donnant dorénavant entière satisfaction.

Depuis, cela fait deux ans que je sens vraiment bien, dans tout mon être. Je tiens à exprimer ma reconnaissance à cette chaîne de praticiens qui travailla selon des méthodes me permettant d’étonner mes amis qui ne cessent de s’extasier sur ma forme et m’envient de pouvoir dire, même si certains restent sceptiques, que pour le moment je n’ai mal nulle part.

 

Je suis heureux d’adresser ce témoignage à Monsieur QUILLIOU qui a fait partie de cette équipe.

 

Lello Monjol